Publié le 30 Novembre 2021
Publié le 29 Novembre 2021
J'ai participé à mon premier salon du livre, celui de La Rochelle où j'ai dédicacé mes livres pendant 3 jours sur le stand de mon éditeur. Je ne m'y suis pas enrichie financièrement, il y avait peu de monde et sur le stand de mon éditeur une vedette rochelaise de la littérature qui vit de sa plume, a publié plusieurs essais et romans chez des grands éditeurs dont certains sont repris au théâtre et au cinéma. Inutile de vous dire que la plupart de ceux qui venaient sur notre stand n'avaient d'yeux que pour cet auteur à succès et ne nous voyaient plus nous pauvres écrivains débutants. J'ai réussi néanmoins à vendre quelques livres et je m'y suis enrichie intellectuellement, car ce talentueux écrivain est une belle personne. Échanger avec lui fût une grande joie. Mes rencontres avec les lecteurs furent riches aussi.
Surtout, j'ai eu une visite très intéressante d'un éditeur qui, intéressé par mes deux premiers romans, m'a demandé de lui envoyer le manuscrit de mon troisième dont j'avais parlé à un ami auteur qui édite chez eux. Je ne voulais pas l'expédier avant le début 2022. "Mieux vaut battre le fer quand il est chaud", je l'ai relu une dernière fois et je le lui ai envoyé. Rien n'est gagné. J'espère pouvoir vous donner des nouvelles prochainement.
J'ai profité du salon du livre pour acheter des livres à mes amis auteurs et échangé aussi avec les miens. Ma pile de livres à lire est haute !
Nous avons profité de ces 3 jours passés à la Rochelle pour nous promener pendant l'heure du déjeuner et surtout le soir. La Rochelle by night, c'est très agréable et il y a d'excellents petits restaurants où nous nous sommes régalés.
J'adorais Novembre à Cergy. Ici, sur le littoral, il n'y a pas les couleurs de l'automne. Dans nos bois les arbres sont essentiellement des pins maritimes et chênes liège. Néanmoins à la périphérie de la ville, certains bois revêtent leurs habits jaunes et roux mais ce n'est pas aussi grandiose. Il manque les étangs.
Quel bonheur le marché de Noël aux Sables à la chaume. J'ai aimé décoré ma table, la rendre attrayante et festive. J'y ai battu largement mes records de dédicaces et surtout j'y ai fait de belles rencontres avec mes lecteurs avec lesquels j'ai pris plaisir à échanger. J'ai été très émue par deux rencontres :
- une dame qui venait de perdre son mari qu'elle avait assisté jour et nuit pendant sa maladie. Elle n'a plus de famille, pas d'amis et cette période de Noël est très insupportable pour elle.
- Un monsieur qui allait passer Noël loin de sa famille était tout heureux d'avoir trouvé mon livre pour lui tenir compagnie.
C'est très souvent que dans les dédicaces des lecteurs viennent me confier leurs souffrances. Empathie, écoute étaient indispensables dans mon métier d'accompagnement des salariés en recherche d'emploi et je pense que je dois dégager cela.
Publié le 26 Novembre 2021
J’ai fait connaissance d’Hugues DRAPIER au salon du livre de La Rochelle. Il est édité comme moi au Lys Bleu et nous dédicacions nos livres sur le même stand. Il m’a parlé de son roman que j’ai acheté parce qu’il aborde le harcèlement dans l’entreprise, sujet qui me tient à cœur et que je traite dans mon troisième roman qui paraîtra début 2022.
Dans ce cours roman écrit d’une écriture incisive qui convient parfaitement au sujet : un pamphlet contre le management dans certaines entreprises dans toutes les couches de la hiérarchie. Il décrit si bien ses managers hommes et femmes bien souvent des pervers narcissiques qui n’hésitent pas à harceler leurs collaborateurs avec l’aval de leur DRH.
L’Entreprise, ce monde impitoyable !
Au-delà du pamphlet, on suit avec plaisir les différents personnages de ce roman si bien campés par Hugues : les managers en se demandant jusqu’où ils peuvent aller dans le harcèlement, les salariés en s’inquiétant sur leur sort. Certains s’en sortent, d’autres plus fragilisés pas.
La fin inattendue m’a laissé pantoise.
Merci Hugues, j’ai pris plaisir à lire ton roman.
Ancienne responsable des ressources humaines, puis consultante en mobilité professionnelle conseillant les entreprises et les salariés, je peux garantir à ceux qui penseraient en te lisant que tu exagères, que beaucoup de salariés que j’ai conseillés m’ont décrit ce type de managers dont le seul but est de détruire et de diviser leurs collaborateurs pour les mettre en concurrence et aussi les empêcher de se liguer et de se rebeller. J’ai entendu un dirigeant, impitoyable mais pas harceleur, s’exclamer dans son discours annuel : « Aimez-vous les uns les autres, mais pas trop quand même ». N’est-ce pas révélateur ?
Publié le 25 Novembre 2021
J’ai rencontré Patrtick Tudoret au Salon du livre de La Rochelle, quel bonheur de dédicacer mes livres à ses côtés. Il y a des rencontres qui vous marquent.
Entre deux signatures. Patrick a eu le temps de me parler avec passion de quelques-uns de ses romans et essais et particulièrement de « Juliette » sa biographie de Juliette Drouet qui fut la compagne de Victor Hugo pendant plus de 50 ans.
Vénérant Victor Hugo et curieuse d’apprendre comment Juliette, cette jeune actrice, est devenue son égérie, j’ai acheté ce livre pour faire un cadeau de Noël à ma belle mère de 95 ans, mais je n'ai pas résisté à l'envie de le lire.
Je m’attendais à une biographie classique et j’ai lu un magnifique roman d’amour écrit à la première personne qui m’a profondément émue. Patrick s’est mis à la place de Juliette. Elle seule pourrait dire s’il a vraiment réussi à se mettre à sa place. Personnellement, je suis persuadée qu’il l’a compris, aimée aussi et qu’elle ne pouvait pas avoir meilleur biographe que Patrick qui, avec une écriture magnifique, si sensitive, nous décrit :
- Un amour chaotique pendant une période sanglante de l’histoire de France qui a valu aux deux amants une vingtaine d’années d’exil à Jersey, Guernesey, en Belgique,
- Un amour entrecoupé de drames familiaux, d’infidélités provoquant quelques fuites de Juliette « j’ai aimé ! Je l’ai aimé, ce Victor comme une folle, malgré moi, malgré lui, malgré le monde entier, grâce à Dieu et malgré le diable qui, parfois, s’en mêla aussi ».
Même si Victor Hugo était très attiré par les femmes, il n’en a" aimé qu’une seule, "sa Juju", avec laquelle il a vieilli et qu’il a adoré jusqu’à sa mort malgré la maladie « Je t’aime, je t’adore, tu es ma vie, ma bien-aimée, rétablis toi et aime moi ! ».
Ils souhaitaient mourir ensemble, il est mort deux ans après elle. On imagine que ces deux années ont dû être très douloureuses pour lui.
Ce livre a été repris au théâtre.
Il me reste maintenant à lire le second livre acheté à Patrick : « l’homme qui fuyait le Nobel…jusqu’à Compostelle », un best-seller. Promis, je vous en parlerai quand j'aurais lu et commenté tous les nombreux livres de mes amis auteurs échangés avec les miens à La Rochelle.
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Éric Yung, homme de radio, écrivain, lit son passage préféré de Juliette, Victor Hugo mon fol amour
Juliette, Victor Hugo mon fol amour (Tallandier) le nouveau roman de Patrick Tudoret. Dans toutes les librairies, Fnac ou en ligne.
Publié le 24 Novembre 2021
On a parlé d’Annie et de sucettes
Mais jamais de Bleuette et ses galettes
Pourtant Je connais à Plougastel
Un gourmand qui chante à sa belle
Chaque jour à l’heure du souper
Cette ritournelle très salée
Bleuette, Bleuette
Tu es la reine des galettes
Notre amour est en disette
Car tu ne m’offres plus de galettes
Des galettes à l’andouillette
Bleuette, Bleuette
Fais-moi tes fameuses galettes
On a chanté des opérettes
On n’a pas chanté les galettes
Pourtant je connais rue des Abbesses
Un gourmand qui chante à sa maîtresse
Le soir en rentrant du travail
Cette ritournelle très chouette l
Bleuette, Bleuette
Tu es la reine des galettes
Notre amour est en disette
Car tu ne m’offres plus de galettes
Des galettes à l’andouillette
Bleuette, Bleuette
Fais-moi tes fameuses galettes
Martine Martin / Octobre 2021 pour les prénoms du mercredi de Jill Bill (aujourd'hui Bleuette) une parodie de la chanson des charlots Paulette, la reine des paupiettes
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Les Charlots "Paulette, la reine des paupiettes" | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/InastarsTélé dimanche | ORTF | 12/11/1967Les Charlots chantent "Paulette, la reine des paupiettes".****** info sur les commentair...
Publié le 23 Novembre 2021
Pour scène de rue chez COVIX :
Ours au balcon
Publié le 19 Novembre 2021
J’ouvre la boîte aux lettres ce soir en me demandant ce qu’elle peut bien contenir d’agréable et qu'elle n’est pas ma surprise d’y trouver un colis. Il doit y avoir une erreur, je n’ai rien commandé, mais c’est bien mon nom et mon adresse qui figurent sur l’étiquette d’expédition. Je ne reconnais pas l’écriture et il n’y a pas les coordonnées de l’expéditeur. J’ouvre avec fougue la boîte du colis postal. À l’intérieur un paquet cadeau revêtu d’un papier qui affiche des cœurs roses sur fond argenté. Je dénoue le ruban avec précaution. Soudain, je m’arrête brutalement. Est-ce prudent d’ouvrir ? Qui peut m’offrir un cadeau enrobé de cœurs ? Le colis est un peu lourd. Peut-être contient-il une bombe ? Je ris aussitôt de cette pensée stupide, j’ai trop lu de romans policiers. Une fois le papier retiré, j’ouvre le carton. Il est rempli de billes de polystyrène que je m’empresse de retirer jusqu’à découvrir un objet tout en longueur emballé de film plastique bulle que je retire avec précaution.
Une splendide lampe en verre bleu turquoise irisé. Elle est superbe. Qui peut bien connaître aussi bien mes goûts ? Je caresse le galbe de son pied et de son abat-jour en verre, Contact un peu froid, mais si plaisant. Je l’installe avec précaution sur une commode de mon salon, la branche et l’allume. Une chaude lueur argentée en surgit soudain qui gagne en intensité, moment magique de joie. Soudain, cette lumière traverse l’abat-jour en verre. Je suis effrayée, la lampe est en train de prendre feu…. L’idée de la bombe resurgit, je devrais m’écarter, mais je reste subjuguée ne pouvant détourner mes yeux de ce spectacle. De la hampe incandescente surgit soudain une sorte d’elfe bleu qui monte, disparaît un instant dans les volutes de fumée pour surgir de nouveau en volant au-dessus de moi laissant dans son sillage une douce lumière bleutée. Soudain, ce génie céleste atterrit sur le fauteuil en face de moi et s’installe tranquillement. Il me regarde longuement. Je n’arrive à prononcer aucun mot tant je suis subjuguée par cette vision surnaturelle et à la fois effrayée de ce face-à-face. Je le regarde aussi, ses yeux, remplis de bienveillance, me rassurent et m’incitent à prononcer quelques mots d’une voix tremblante ?
— Bonjour ! Qui êtes-vous ? D’où venez-vous ?
— Je suis l’elfe chance, je viens de l’astre de feu Soleil porter le bonheur à des élus dont tu fais partie.
— Pourquoi moi ? Qu’ai-je donc fait pour faire partie de cette élite
— Je ne sais pas, je n’ai pas choisi, c’est la muse hasard qui m’a inspirée et guidé vers toi, mais existe-t-elle vraiment cette muse ?
— Avons-nous besoin d’un tel privilège ? Votre présence sera notre cadeau. Quel bonheur venez-vous apporter à vos élus ?
— En ce qui te concerne, je ne sais pas encore, c’est toi qui vas me le dire. Je vais te demander de m’exprimer trois vœux et ils seront exaucés.
— J’aurais préféré que vous vous fiiez à votre muse hasard et que vous m’apportiez trois bonheurs inattendus, j’ai toujours aimé les surprises.
— Comment pourrais-je savoir à l’avance ce qui va faire ton bonheur ? Je ne te connais pas. Seuls ceux qui ont ce privilège peuvent savoir et encore te connaissent-ils vraiment ?
— Vous avez raison elfe chance, chacun a sa propre définition du bonheur.
— Alors dis-moi trois choses qui te manquent pour être heureuse et je te les donnerai.
— Vous êtes mal tombé, je ne crois pas au bonheur avec un « B » majuscule à cet état de grâce durable, mais je crois tout simplement à toutes ses petites joies sensitives, affectives qui font le bonheur de l’instant et qui évitent de ressasser le passé et de se projeter dans le futur.
— Mais tu as bien des envies, des espoirs.
— Non aucun : ne pas avoir d’espoir m’évite d’être déçue et me permet d’être heureuse quand quelque chose d’agréable et d’inattendu arrive. Désolée, je ne vois pas quels vœux je pourrais faire pour moi. Si je fais des vœux pour les autres, il me sera impossible de choisir trois personnes parmi tous les gens malheureux que je côtoie. Qui recherche l’amour, qui la santé, qui l’argent et parfois les trois.
— Allez réfléchis bien, avant que je parte.
— Je ne sais pas, je ne crois ni à la chance, ni au hasard…. Je ne joue d’ailleurs jamais au loto.
— Effectivement, tu ne peux pas gagner si tu ne joues pas, mais si tu jouais, tu pourrais gagner.
— C’est vrai, mais je n’aime pas perdre, voir mes espoirs déçus.
— Allez réfléchis bien….
— Un long silence s’établit entre nous. Je regarde l’elfe chance, j’aime son regard doux et intelligent qui me rappelle quelqu’un, mais qui vraiment ? Peut-être que je pourrais lui demander ! Non, je préfère ne pas savoir, car s’il ne réussissait pas, je serais si malheureuse et puis Soudain, j’ai une envie impulsive de l’étreindre et de l’embrasser… Je romps le silence :
— Elfe Chance ; mon unique vœu : je souhaite que vous restiez ici, auprès de moi-même et ma famille. Votre présence sera notre cadeau chaque jour. Je ne demande rien d’autre.
— C’est impossible, je dois continuer ma mission d’apporter le bonheur à d’autres humains. Fais-moi trois vœux, allez, je t’écoute !
— Premier vœu : avant que vous ne me quittiez, je voudrais vous serrer dans mes bras. Second vœu, je souhaiterais vous embrasser et pour terminer : si vous me laissiez cette jolie lampe en souvenir de vous.
— Personne ne m’a jamais fait des vœux aussi simples, mais puisque c’est ta volonté !
L’elfe chance s’extirpe de son fauteuil, je me lève aussi. Poussés l’un vers l’autre nous nous étreignons longuement et soudain il m’embrasse affectueusement. Il relâche soudain son étreinte et s’envole en agitant la main pour me dire adieu. Il disparaît soudain à travers le plafond.
Seul souvenir de sa présence la lampe bleue qui diffuse une douce lumière d’azur dans la pièce.
La tristesse fait place à quelques instants de bonheur intense, mais n’est-ce pas la vie ?
Je saisis sur la table la caisse de la lampe, la vide complètement de ses billes de polystyrène. Au fond du carton, il y a une enveloppe du même bleu que la lampe, je l’ouvre fiévreusement. Quel message a pu me laisser l’elfe bleu, je saisis la carte : 3 mots me sautent aux yeux : « Joyeux Noël, petite sœur ».
Je me précipite à la fenêtre, peut-être que je pourrais apercevoir l’elfe bleu, lui faire un signe pour qu’il revienne et là, dans la nuit étoilée, un message est écrit en fumée blanche :
« Nul n’est plus chanceux que celui qui croit à la chance. ».
Ce n’était qu’un rêve, la sonnerie stridente de mon réveil me sort de ce doux songe.
Martine Martin pour LE NID DE MOTS d’ABC (thème : écrire un texte comportant la phrase suivante : "Votre présence sera notre cadeau"
P.S. : à lire après avoir lu le texte :
"Un seul être vous manque et tout est dépeuplé " Lamartine.
Plusieurs êtres me manquent terriblement :
Si je devais faire des vœux aujourd'hui, ce serait de voir mon frère décédé à la naissance au paradis, revoir ma grand-mère qui l’a rejoint et notre fils qui nous boude depuis onze ans (ainsi que mes trois petits-fils), pouvoir les étreindre et les embrasser.
Publié le 18 Novembre 2021
C’est le flamboyant automne
Aux matinées embrumées et douces
Qui éclipsent l’aube en cape rousse
Au-dessus de l’océan de brume,
Des étangs ensommeillés qui fument
Des sereines vignes en vendange
Se lève l’astre solaire orange
Qui illumine les pampres d’or
Aux toutes premières heures de l’aurore
Dans la fraîche brise automnale
Un effluve de rosée s’exhale
Les feuilles étoilées d’or papillonnent
En voletant elles tourbillonnent
S’émoustillent d’Eole et s’étonnent
Avant de mourir ivres et vaincues
Sur l’épais tapis frais et moussu
Martine Martin / Novembre 2021 pour les jeudis en poésie du défi 256 des croqueurs de mots animé par Colette
Publié le 17 Novembre 2021
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Skipper surnommé YVANOHÉ
Par un beau matin d'automne
Au départ des Sables d'Olonne
Pour gagner le Vendée Globe
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Ému et fier comme Artaban
Sur son bel et grand trimaran
fatigué mais plein d'espérance
Il est au cap de bonne espérance
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Bien au large de l'Australie
Le Cap Leuwin enfin il rallie
Mettre le cap au nord le ravit
Champagne, c'est Noël aussi
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Déjà le Chili le Cap Horn
tempêtes et vagues énormes
Vital d'être toujours en éveil
Dur de résister au sommeil
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Voguer dans le golfe de Gascogne
Brusquement l'océan s'apaise
Les cargos et tankers l'assiègent
Croire à sa chance sans vergogne
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Couper la ligne d'arrivée
Aux Sables se faire acclamer
Moment depuis longtemps rêvé
Même s'il n'est pas le premier
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot navigue sur les flots
Après trois mois de mer
difficile premier pas sur terre
Joie d'embrasser femme et enfants
et retrouver sa vie d'avant
YVANOHÉ, YVANOHÉ
Ohé, ohé matelot
Matelot n'est plus sur les flots
Martine Martin / Octobre 2021 pour les prénoms du mercredi de Jill Bill (aujourd'hui YVANOHÉ)
Publié le 16 Novembre 2021
Pour scène de rue chez Covix :
J'ai eu un vrai coup de cœur pour cette statue "Le lion et la lionne" de Georges Gardet dans le Parc du château de Vaux le Vicomte