Publié le 28 Août 2008
Commencer par voir le paysage
Jusqu'à l' apparition du silence
Communier avec le paysage
Jusqu'à devenir silence
Puis se regarder
En silence
Mes poèmes, nouvelles, écrits divers
Publié le 28 Août 2008
Commencer par voir le paysage
Jusqu'à l' apparition du silence
Communier avec le paysage
Jusqu'à devenir silence
Puis se regarder
En silence
Publié le 27 Août 2008
Publié le 25 Août 2008
Je viens de terminer ma pause estivale, une vraie pause sans ordinateur. Je n'ai rien écrit pendant ces quelques jours. Oisiveté totale,
j'ai beaucoup rêvé, médité..... La vie entre parenthèses. Je vais me remettre à écrire mais en attendant à vous, chers amis, d'écirre. Inspirez vous de la photo ci-dessous que j'ai prise dans un merveilleux jardin pour écrire . Merci de m'adresser vos écrits ici. Je les publierai. ![]() |
Publié le 22 Août 2008
Publié le 19 Août 2008
En cet après-midi de juin
Au village, place de Verdun,
Dans l’aride chaleur de l’été
Les somptueux tilleuls argentés
Ont fleuri de blond leur chevelure
Pour calmer la vieille blessure
De la gare qui, un beau matin,
Perdit ses voyageurs et ses trains.
Les feuilles chantent avec le vent :
"Allez, allez, venez bonnes gens
Retrouver les plaisirs d'antan
Allez, allez venez les enfants
Cueillez cueillez nos fleurs d'argent
Pour le plaisir des petits et grands"
Elles rêvent d'une suave tisane
Où elles se baigneront diaphanes
Dans le doux parfum
qu'elles émanent
Publié le 16 Août 2008
Publié le 13 Août 2008
Publié le 10 Août 2008
Publié le 7 Août 2008
Oubli, évasion
Transhumance annuelle
Vie en suspension
Publié le 4 Août 2008
Excusez-moi chers amis, c'est l'été, les vacances : plutôt que de rimer avec mes maux, j'ai préféré jouer avec
les mots et le résultat est un peu fou !!!
C’est périlleux et téméraire
De tenter cette performance
Avec humour et pertinence
De mélanger pères et mères
Pour vous narrer cette romance
Les Mères LETTE et les Pères ROQUET blancs
Gais et amoureux Merlonnent en cœur
Ces Pères Siffleurs très impertinents
Persistent d’un ton péremptoire
Sous le regard du Père RUVIEN noir
Dans le jardin des Mères CURIALES
Le Père CEPTEUR mercantile
Pervers comme le père NICIEUX
Vient de commettre un impair sérieux
En claironnant partout en ville
Que le couscous de la Mère GUEZ
Est vraiment une infâme glaise
De ce conte, c'est la morale :
Quand les Pères sont immersion
Les Mères sont en perdition
Si à cette très folle histoire
Qui n’est pas impérissable
Vous avez été perméable
Bravo à vous c’est méritoire