Publié le 14 Mai 2018

Gisèle nous demande  pour le défi n° 205 des croqueurs de mots d'écrire un lipogramme (sans la lettre G) en nous inspirant de sa photo ci-dessous

Les exterminateurs de la lettre maudite

Ci-dessous ma participation un peu délirante et je vous prie par avance de m'en excuser mais n'est t'on pas sur le thème du fantastique !!

Les exterminateurs de la lettre maudite

  • Jaipetto où en es tu de l’élimination de la lettre maudite : la  septième de l’alphabet
  • Je suis fier de moi. J’ai dévoré celle d’un amateur de bonne cuisine ? Elle était succulente. Il peut me remercier,  il va mincir, finie la bonne chair et il est devenu astronome et a maintenant la tête dans les étoiles.
  • C’est tout 
  • C’est déjà pas mal Jairard, tu n’es jamais content
  • Jaipetto arrête tes jérémiades
  • D'accord mais dis-moi où en es-tu de cette élimination ?
  • J’ai dévoré la première lettre maudite de cette couche blanche qui recouvre les arbres en hiver et les alourdit, pour, à défaut de lui donner des ailes, lui offrir à la place un « l ». Les arbres l’hiver seront ainsi remplis de livres. Peut-être mon plus beau projet !
  • Tu me donnes des idées Jairard, je vais m’attaquer à la première lettre maudite de cette pluie lourde et drue qui attaque les cultures pour la remplacer par un « p » et qu’elle se transforme en cette jolie fleur des champs : la prêle
  • Attention néanmoins Jaipetto en voulant éliminer cette lettre maudite nous ne ferons pas que des heureux.
  • A quoi penses-tu Jairard ?
  • Par exemple  j’ai rendu service à une pièce métallique de serrure qui s’ennuie toute la journée en attendant son hôte. j’ai dévoré sa lettre interdite et l’ai remplacée par un « h »  maintenant elle est devenue hache de porte et son pêne compte ses abattis
  • Pauvre pêne il me fait de la peine. Jairare tu n’aurais pas dû remplacer cette lettre maudite. As-tu d’autres exemples de suppression qui ont posé problème ?
  • Non Jaipetto pas pour le moment mais j’ai bien envie de supprimer la lettre de ce point qui porte son nom mais cela va être très difficile de la remplacer
  • Ne t’inquiète pas Jairare, j’ai beaucoup mieux comme lettre nous allons la remplacer par un « Q » et le point Q sera beaucoup plus parlant pour tous et plus facile à trouver  surtout pour toi Jairare au jet rare pour qui ce point de la lettre interdite peut paraître inutile
  • Super, Merci Jaipetto mais attention avec le point Q on pourrait maintenant t’appeler jaipété car ces jets là chez toi ne sont pas rares.

Martine / Avril 2016 (encore mille excuses de temps en temps je me lâche mais c'est rare heureusement)

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Rédigé par Martine.

Publié dans #Ecrits divers

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Publié le 10 Mai 2018

J'ai, avant l'heure, participé aux jeudis en poésie du défi 205 des croqueurs de mots animé par Gisèle. Ci-dessous en lien mon poème sur le thème du fantastique

Pour celles et ceux qui l'ont déjà lu, je rajoute ici une très belle chanson de Léo Ferré "C'est fantastique"

Ci-dessous les paroles de cette chanson

Je suis l'ordinateur de ton ordre profond
Je suis le transistor de tes transits funèbres
Quand je passe, on dirait que tu viens des ténèbres
Et que, de mon soleil, tu tires ta raison

Quand tu chantes, c'est moi qui fabrique ton chant
Quand tu pleures, c'est moi qu'analysent tes larmes
 

Quand tu marches, c'est moi qui craque sous ton charme
Quand tu ris, c'est par moi que le rire te prend

C'est fantastique, non ?
C'est fantastique

Je suis le jardinier de tes verts paradis
Je suis le grammairien de tes mots de tendresse
Quand tu dis que tu m'aimes, on dirait que tu laisses
Au cul de ma comète les cheveux de ta nuit

Je suis l'équation triste au bras d'une inconnue
Quand tu me mens, c'est moi qui mens dans ton sillage

 
 

Quand tu meurs, c'est par moi que tu tournes la page
Et puis que tu renais comme un sphinx dans ma rue

C'est fantastique, non ?
C'est fantastique

Je suis l'orgue qui joue quand tu vas t'éclater
Le marchand de ton sable où la mer te recouvre
Quand ta porte se ferme, tu cries que je la rouvre
Et la mer nous reprend au bout de la marée

Quand tu te noies, c'est moi qui deviens le noyé
Quand tu coules par moi, je suis le capitaine
Et quand je coule en toi, tu hisses la misaine
De ce voilier perdu, chaque fois retrouvé

C'est fantastique, non ?
C'est fantastique

Je suis la fin de tout dans ton commencement
La source de ta joie, le terme de tes peines
Le fleuve qui te draine au-delà de toi-même
La noirceur de ton lys, la pâleur de ton sang

Les ailes de l'archange au milieu des pavés
La rue qui se lamente au pied de nos victoires
Le sentiment barré au milieu de la gloire
Et ce bon sens commun qu'on ne sait plus nommer

C'est dérisoire, non ?
C'est dérisoire

Je suis l'ordinateur de ton ordre profond
Je suis le jardinier de tes verts paradis
Je suis l'orgue qui joue quand tu vas t'éclater
Je suis la fin de tout dans ton commencement
Les ailes de l'archange au milieu des pavés
La rue qui se lamente au pied de nos victoires
Le sentiment barré au milieu de la gloire
Et ce bon sens commun qu'on ne sait plus nommer

C'est fantastique, va !
C'est fantastique !

 

 

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Rédigé par Martine.

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Publié le 9 Mai 2018

Il y a casserole et casserole

Carole cuisinière d’expérience

Astique sans plaisir les casseroles

Son chef un meilleur ouvrier de France

S’applique à l’avilir : c’est un mariole

Elle aimerait qu’il lui fasse confiance

Rêvant d’être grande chef étoilée

Oubliant que pour cuire sauce aux girolles

Lui servir avec son bon bar poêlé

Elle devra passer  à la casserole

Martine Martin / Mai 2018 pour les acrostiches du mercredi (mot 6) chez Lenaïg

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Rédigé par Martine.

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Publié le 8 Mai 2018

Pour scène de rue chez COVIX une photo prise aux Sables d'olonne, rue de l'enfer la plus petite rue au monde (livre guiness des records).

C'est bien connu "l'enfer c'est les autres" (Jean-Paul Sartre - Huis-clos)

Scène de rue chez covix : L'enfer c'est les autres

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Rédigé par Martine.

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Publié le 7 Mai 2018

Pour Image Citation 37 voici les photos de  Gisèle qui étaient à illustrer  par une photo (pour mieux lire les citations cliquez sur les photos)

Imagecitation 37
Imagecitation 37
Imagecitation 37
Imagecitation 37

et maintenant voici les citations proposées par Gisèle et qui étaient à illustrer  par une photo (pour mieux lire les citations cliquez sur les photos)

Photo Martine d'un tableau de lô

Photo Martine d'un tableau de lô

Photo de mon ami Robert

Photo de mon ami Robert

Photo Martine

Photo Martine

Photo Pixabay

Photo Pixabay

Photo Martine

Photo Martine

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Publié le 4 Mai 2018

Extrait du journal de Madeleine / 6 juin 2012

Par ce bel après-midi de juin, assise au jardin, je lis cette phrase du livre de Stefan ZWEIG "24 heures de la vie d’une femme" que j’ai relu de nombreuses fois tant je l’aime…... Je relis une nouvelle fois cette phrase qui ne m’avait pas marquée à une lecture précédente. Je pose le livre et lève les yeux et je me souviens il y a longtemps, il y a plus de quarante ans de ce tsunami qui m’a envahi brusquement en croisant un regard, souvenir agréable mais douloureux aussi. Je sors de ma rêverie et je vois Jean, mon petit-fils, m’observer avec tendresse et tristesse à la fois.

Que peut-il penser de moi à ce moment précis, j’espère qu’il n’a pas percé mes pensées les plus profondes. Soudain il sort son appareil photo numérique et immortalise ce moment de complicité entre nous. Je n’aime pas être prise en photo, Jean ne l’ignore pas mais il sait aussi qu’il peut tout se permettre tant je l’aime et l’admire. Avec lui je ne suis jamais la vieille grincheuse que je suis depuis longtemps et cela ne s’arrange pas avec les années. Je râle après Pacha mon chat roux quand il me réveille à l’aube pour jouer avec moi alors qu’il dort toute la journée. Je râle après les voisins quand ils font du bruit les soirées d’été. Je râle après les commerçants quand ils n’ouvrent pas à l’heure, je râle après Max mon époux quand il se plaint de ses douleurs. Je râle après ma fille qui m’infantilise et qui s’adresse à moi comme à une gamine « A ton âge maman, il ne faut pas ceci, il ne faut plus cela …» et pire je râle même après moi-même, après ce corps qui ne me permet plus toutes les folies de ma jeunesse et notamment celles de ce fameux jour ….

 

Extrait du journal de Madeleine / 20 septembre 2012

Pour mon anniversaire, 89 ans déjà, Jean m’a offert hier un cadeau, le plus beau que je n’ai jamais reçu.
Il est arrivé avec un très beau et grand paquet emballé de papier vert pomme avec un ruban en soie violet. Que cela pouvait-il être ?
J’ai retiré le papier avec précaution. Je ne pouvais déchirer un si beau papier et j’ai découvert un tableau, un portrait d’une vieille bourgeoise assise dans le jardin avec un regard à la fois pensif et malicieux, une vieille à la peau burinée par le soleil et les ans un livre ouvert posé sur ses genoux avec un grand chapeau de paille. C’est en reconnaissant mon chapeau jaune à large bord que je me suis aperçue que c’était moi avec mes seins encore très fermes qui ne tombent pas comme mes joues. Il y avait même Pacha le chat entrain de dormir comme d'habitude qui ressemblait plutôt à un chien. 

Mamie Madeleine / Défi 62 de Ghislaine

J’ai tenu longtemps et serré Jean dans mes bras. Les larmes aux yeux je l’ai embrassé et je lui ai murmuré à l’oreille un secret... Je me suis tournée vers Max et je lui ai demandé de l’accrocher tout de suite dans l’entrée. Max très étonné par ma demande me répond moqueur : « ce portrait te ressemble tant, c’est comme un miroir tu sais, que tu ne les supportes pas et que tu les as tous retirés du mas ».  

Max qui ne perd jamais l’occasion de se taire me fait réfléchir néanmoins : « En effet pourquoi accrocher ce tableau ? Simplement pour faire plaisir à Jean mais pourquoi dans l’entrée ou je me verrai plusieurs fois dans la journée. Je crois que c’est aussi pour pouvoir le montrer à tous mes visiteurs de moins en moins nombreux tant je deviens grincheuse. Je suis si fière de Jean, de son intelligence, de sa sensibilité, de son talent, de sa douceur. Ce petit fils est un trésor et je veux que tout le monde le sache. C’est un artiste ce que j’aurais voulu être mais j’ai l’âme beaucoup trop pragmatique et conventionnelle. Il n’est jamais tard pour réveiller l’artiste qui dort en moi. Peut-être que jean pourrait m’y aider.
C’est vrai que je suis ressemblante hélas. Ce chapeau de paille ridicule me donne un air de vieille propriétaire terrienne moi la citadine qui n’a jamais su retenir le nom des fleurs et reconnaître les arbres. Je suis une vieille « bobo » comme on dit maintenant.

En fait, Je m’aime bien  vu à travers le regard de Jean et je prendrai plaisir à me regarder. Je vais faire remettre des miroirs dans le mas en commençant par celui de la salle de bain ce qui évitera à Max de se couper en se rasant et de me râler dessus.

 

BLOG DE JEAN

Mamie Madeleine / 20 Septembre 2012

Aujourd’hui j’ai envie de vous parler de ma grand-mère maternelle dont je ne vous ai jamais parlé. Mamie Madeleine est une vieille dame. Elle vient d’entrer dans sa quatre-vingt-dixième année et ne les fait pas tant elle est vive, toujours à s’activer et à booster Papi Max qui, bien que plus jeune s'encroûte à force de savourer l’oisiveté avec délectation ce qui énerve Mamie.

Mamie Madeleine ne sait pas marcher lentement et quand je me promène dans la rue à ses côtés, je dois marcher plus vite que je ne le fais d’habitude. Elle a encore une grande vivacité d’esprit et dépense une énergie considérable à râler après tout le monde sauf après moi et pourtant je m’amuse parfois à la taquiner pour la faire réagir mais en vain.

Cet été elle était en train de lire au jardin 24 heures de la vie d’une femme de Stefan ZWEIG, son roman préféré dont elle ne se lasse pas. Je l’ai lu c’est l’histoire d’une passion entre une jeune femme veuve et un joueur invétéré. Une de ces passions fulgurantes déclenchées par les visions de deux élégantes mains s'agitant sur un tapis jeu. Une passion dévastatrice très courte qui marque une vie pour toujours. Je me suis toujours demandé ce que Mamie pouvait aimer dans ce livre. Je ne l’imaginais pas avoir une telle passion, elle est trop raisonnable, réfléchie. Elle ne se laisse pas prendre par l’émotion d’un instant, tout chez elle est bordé, contrôlé. C’est aussi pour cela que je l’aime aussi car elle sait cadrer ma fougue et me ramener parfois à la raison quand j’idéalise trop. Peut-être avait-elle besoin de vivre ce qu'elle n'avait pas vécu et qu'à son âge elle ne vivrait sans doute pas. Je reviens à cet après-midi d’été, elle était en train de lire ce roman quand elle a soudain levé la tête après avoir souligné une phrase au crayon rouge dans son livre. Son regard fixe avec ses yeux bleus comme l'azur du ciel provençal s’est perdu au loin devenant à la fois rêveur avec une joie comme contenue. Je l’ai trouvé très belle à cet instant, ce n’était plus la même.  J’ai sorti mon APN impulsivement et je l’ai prise en photo bien que je sais parfaitement qu’elle a horreur de cela. Je n’ai pas pu m’en empêcher.  Je me suis promis d’aller voir discrètement quelle était la phrase qui avait pu la sortir de sa lecture.

J’ai regardé en rentrant la photo sur mon écran et c’est là que j’ai eu l’idée d’en faire une peinture et de lui offrir pour son anniversaire. Une fois la peinture terminée et sèche. Je l’ai enveloppé d’un beau papier et noué le paquet avec un très long ruban en soie mauve acheté pour l’occasion.

Je lui ai emmené son cadeau hier. Elle l’a ouvert avec beaucoup de soin pour une fois sans se précipiter et quand elle a découvert son portrait, des larmes ont doucement coulé sur son visage je ne l’avais jamais vu pleurer et j’en ai été tout ému. Elle m’a serré dans ces bras et embrassé en murmurant tout bas « Tu ne sais pas à quel point tu me fais plaisir Jean, ce tableau me rappellera toujours un souvenir très ancien d’un grand bonheur fugace ».

Je lui ai répondu « Excuse-moi  Mamie de te faire pleurer comme une Madeleine et en plus d'avoir transformé Pacha en chien mais  avec son nom je ne pouvais pas en faire un chat ». J'ai réussi à la faire rire à travers ses larmes.

Je me suis soudain  rappelé que je n’avais pas encore pris le temps de regarder quelle était la phrase qui avait donné à Mamie ce si beau regard.

Pendant que Papi Max accrochait le tableau, je suis allée discrètement dans la bibliothèque de la chambre de mamie et j’ai trouvé bien en évidence le livre culte.  J'ai recherché la phrase soulignée, il n'y en avait qu'une seule.

Je l'ai lue à haute voix :

« Seuls des êtres absolument étrangers à la passion connaissent en des moments tout à fait exceptionnels, ces explosions soudaines d’une passion semblable à une avalanche ou à un ouragan : alors des années entières de force non utilisées se précipitent et roulent dans les profondeurs d’une poitrine humaine »

Stefan ZWEIG.

Martine / Réédition d'une nouvelle de 2012 pour le Défi 62 de Ghislaine, il contenait déjà quelques mots de ceux imposés par Ghislaine et beaucoup de couleurs. Désolée Ghislaine mais je n'ai pas eu le temps d'écrire un nouveau texte dans le délai imparti, mes petites filles ayant pris tout mon temps pendant 10 jours : que du bonheur

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Rédigé par Martine.

Publié dans #Nouvelles

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Publié le 3 Mai 2018

Muguet des bois

Un brin de joie.

Gardes le Toujours

Un brin d'amour.

En porte bonheur

Tu chantes à mon cœur

Martine / Pour les jeudis en poésie du  défi 204 des croqueurs de mots animé par Zaza (thème : muguet) / Première photo Pixabay 

Muguet des bois

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Rédigé par Martine.

Publié dans #Poèmes

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Publié le 1 Mai 2018

Vous avez vu la semaine dernière le bel oephèbe de dos, le voici maintenant de face

Nice / Place Masséna

Nice / Place Masséna

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Rédigé par Martine.

Publié dans #Scène de rue

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Publié le 30 Avril 2018

Comment lui dire

Au beau milieu de la place

Du Vieux Brie Comte Robert

Qui n’est pas du tout Dallas

Ce n’est pas vraiment  JR

Au beau milieu de la place

Jean-Robert  soudain sourie

Il tient dans ses mains un brie

Je le reconnais c’est lui

Comment lui dire, comment lui dire

Que je n’aime que le coulant camembert

Qui rime bien mieux avec Robert

 

Au beau milieu de la place

Du  vieux Brie comte Robert

Je manque soudain d’audace

Je suis quelque peu vénèr

Au beau milieu de la place

Jean Robert toujours sourie

Au beau milieu de la place

De ce lieu qu’on parodie

Comment lui dire, comment lui dire

Qu’il ne sera jamais  JR ce sans gêne

Et moi oh non jamais sa Sue Ellen

Comment lui dire, comment lui dire

Qu’il doit partir

Bien loin de moi

Qu’il doit….

 

Au beau milieu de la place

Jean Robert toujours sourit

Au beau milieu de la place

Et c’est sa fête aujourd’hui

Ne pas lui dire,  Ne pas lui dire

Ne pas lui dire , il va bien trop souffrir

Ne pas lui dire

Sourire, lui dire

Bonne fête mon Jean-Robert mon JR

Je veux lui dire,  et je veux dire

Bonne fête à mon JR et aux  Robert

Et puis m’enfuir

 

Martine / Pour le défi 204 des croqueurs de mots animé par Zaza

Ce poème est une parodie de la chanson de France Gall Comment lui dire vous l'aurez reconnu. Mais c'est aussi une parodie en quelque sorte de la parodie de Collaro du feuilleton Dallas (voir ci-dessous la vidéo)

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Rédigé par Martine.

Publié dans #Parodies

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Publié le 28 Avril 2018

Ce début de mois a été difficile. J'avais une douleur dans le sein gauche le seul qui me reste après mon cancer du sein droite et ma mastectomie. Quand je le palpais à la recherche d'une tumeur que je ne trouvais pas cela me faisait mal. Je suis allée morte de peur voir mon généraliste qui, après un très long examen, m'a dit de ne pas m'inquiéter, il n'avait rien trouvé. Cela devait être des douleurs intercostales dues à l'hormonothérapie, traitement que je prends pendant 5 ans pour limiter le risque de récidive.  Néanmoins pour me rassurer complètement il m'a prescrit une mammographie et une échographie. J'ai aussitôt pris le rendez-vous : 10 jours d'attente insupportable. Et puis le grand bonheur, la délivrance aucune tumeur et comme cela je n'aurais pas à angoisser jusqu'en juillet date qui était prévue pour ma mammographie à Curie : juste à rencontrer l'oncologue pour le renouvellement du traitement .

J'ai aussi été handicapée pour marcher pendant 10 jours m'étant certainement froissé un muscle en courant. Je n'ai pas pu beaucoup marcher et faire de l'aquabike et du body palm en piscine ce qui m'a beaucoup manqué.

J'aime beaucoup assister aux arrivées aux Sables d'olonne des skippers du Vendée Globe qui sont y sont accueillis avec le même enthousiasme du premier au dernier. Quelle ne fut pas ma chance et ma  joie en ce début avril : Me trouver sur le chenal du port des Sables d'olonne quand le Skipper Irlandais Enda O'Coineen déguisé en pirate y arrivait bouclant ainsi son tour du monde après quelques péripéties (en savoir plus)

Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018

Les oiseaux sont revenus après l'hiver dans les marais vendéens. Toujours une joie de voir des hérons et aigrettes et de pouvoir s'approcher doucement pour ne pas les effrayer et les photographier.

Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018

Un grand bonheur d'assister au spectacle de jets d'eau colorés et dansants de la Société Atlantid et de natation synchronisés des Naïades de Paris pour fêter l'anniversaire 2 ans de mon Centre Aquatique AQUALONNE, celui ou je continue à aller avec grand plaisir chaque jour  mais je suis loin d'arriver aux performances des Naïades ! Ma petite fille de 10 ans qui fait de la natation synchronisée 10 heures par semaine y arrivera si elle continue.

Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018

Quelques jolies promenades aussi en avril sur notre si belle côte vendéenne sous le soleil enfin revenu après tant de pluie. C'est toujours un grand bonheur pour moi de marcher de longues heures sur le littoral.

Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018

Le temps de cette fin avril fut estival et nous sommes retournés lire sur notre plage préférée. Je me suis baignée pour la première fois de la saison le 20 avril : pur bonheur

Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018

La dernière semaine du mois  nos petites filles et leur papa nous ont rejoints pour une bonne semaine avec un temps estival, notre fille est venue elle aussi juste pour le long week-end du 1er mai. Quel plaisir pour moi de me baigner avec mes petites puces

Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018
Aimé détesté Avril 2018Aimé détesté Avril 2018

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Rédigé par Martine.

Publié dans #aimé détesté, #Vécu

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