Publié le 2 Septembre 2020
La louve tu mords Romulus !
Oublie-moi mon frère Rémus !
Un sale baveur tu es Romulus !
Vos gueules les jumeaux pisseux
Et cachez vos zobs les vicieux
Martine / Mai 2020 pour les prénoms du mercredi de Jill Bill
Mes poèmes, nouvelles, écrits divers
Publié le 2 Septembre 2020
La louve tu mords Romulus !
Oublie-moi mon frère Rémus !
Un sale baveur tu es Romulus !
Vos gueules les jumeaux pisseux
Et cachez vos zobs les vicieux
Martine / Mai 2020 pour les prénoms du mercredi de Jill Bill
Publié le 1 Septembre 2020
Pour Scène de rue chez Covix : Fresque turncoat de D*Face (Boulevard Vincent Auriol, Paris 13ème)
Serait t'elle végétarienne ?
Publié le 31 Août 2020
Le début du mois fut très chaud aux Sables d'Olonne. Quel plaisir le soir de dîner sur la plage !
Août c'est le mois des mûres. Il y en a beaucoup le long de nos chemins de randonnée et nous avons pris, comme chaque année, du plaisir à les cueillir et à en faire des tartes. Il y en aura jusqu'en septembre nous retournerons en cueillir pour faire des confitures.
C'est aussi le mois des mirabelles. Nous n'avons pas comme à Cergy un mirabellier dans notre jardin. Mais nous en avons acheté et avons fait des tartes et confitures.
Toute l'année nous faisons du barbecue électrique. C'est beaucoup plus rapide, mais l'été, quand nous déjeunons au jardin, nous aimons faire griller sur notre grand barbecue avec un vrai feu. Ce premier barbecue 2020 avec une entrecôte de notre boucher fut un vrai plaisir.
Je continue mes promenades matinales avec plaisir mais moins qu'en juin ou juillet car il fait nuit beaucoup plus tard et je dois être rentrée à la maison à huit heures pour me rendre à mes séances d'aquafitness que j'adore et où j'ai plaisir à échanger avec mes copines de piscine dont certaines sont devenues des amies. Néanmoins, cela ne m'empêche pas encore d'assister à de beaux lever de soleil. J'ai même eu la chance d'admirer un matin un bel arc en ciel dans un ciel tourmenté.
Nous sommes remontés sur l'Île de France mi-août. Nous avons fait une escale à Chartres . Depuis le temps que je rêvais de visiter la cathédrale Notre-Dame. En ce week-end de l'Assomption, sa visite s'imposait. L'intérieur est magnifique et vient en grande partie d'être restauré. Les vitraux sont magnifiques. Nous avons déjeuné face à la cathédrale. Quelle belle journée !
Le soir nous sommes remontés sur Marnes la Vallée. Nous avions réservé une chambre à l'hôtel IBIS et, COVID oblige, nous avons eu le droit au Novotel mitoyen pour le même prix. Accord avait fermé l'hôtel IBIS pour regrouper la clientèle sur le Novotel. Nous avions une très grande chambre, donnant sur la piscine, avec un lit grand format et un coin salon avec canapé. Ce fut un vrai plaisir de se baigner dans la piscine après cette journée de voyage et de visite. Le soir, depuis notre chambre, nous avons pu admirer le coucher de soleil.
Le lendemain 15 août c'était l'anniversaire de la maman de Jeff qui fêtait ses 94 ans chez une des soeurs de Jeff à Esbly. Toute la famille (ou presque) était réunie. De voir l'émotion de sa maman quand elle a découvert sa photo bébé avec ses parents (voir ci-dessous) et son bonheur nous a rendus heureux. Nous n'avons pas regretté d'être venu malgré la distance.
Il ne manquait plus que notre fille, son conjoint et les petites qui étaient en vacances en Croatie et qui nous ont beaucoup manqué.
Nous avions eu Pauline au mois de juillet mais pas Agathe (8 ans) et Léonore (10 ans) qui nous a envoyé une très gentille lettre depuis sa colonie. Elle préfère écrire des lettres que d'envoyer des cartes postales. Celle-ci nous a beaucoup touchés.
En fin de mois, les grandes marées m'ont encore fascinée. C'est impressionnant la force de l'océan et sa beauté quand il est tourmenté
Malgré nos gros problèmes, ce fut un bon mois. En effet une fuite d'eau sous le sol de notre maison a mouillé les câbles électriques des prises de terre, résultat plus d'électricité sur les prises et plus d'eau puisqu'il nous a fallu la couper. Heureusement que le réseau de l'extension de notre maison n'a pas été touché et nous avons pu nous doucher dans la baignoire de l'extension, faire la vaisselle dans le lavabo(Je ne sais pas si vous avez déjà essayé, mais ce n'est pas très pratique.) et nous brancher avec de très longues rallonges sur les prises de l'extension. Jeff a refait l'électricité et avec l'aide d'un plombier le réseau d'eau en faisant passer de nouveaux tuyaux par les combles. Chapeau à lui, car c'est un travail énorme. Tout fonctionne désormais normalement !
Je n'ai pas été très présente sur les blogs car je suis en train de finaliser mon prochain roman qui s'appellera " Souviens-toi du bus 96 " que je vais envoyer aux éditeurs début septembre. Je l'ai fait lire à des lecteurs tests choisis parmi mes amis blogueurs et autres et les retours critiques positifs, voire enthousiastes pour certains me laissent espérer pouvoir intéresser un éditeur à compte d'éditeur cette fois. Je n'avais pas eu le courage de patienter leur réponse toujours plus longue à venir que celles des éditeurs à compte d'auteur. Mais cela nécessite un gros travail de relecture, de rédaction d'un synopsis, avec les thèmes abordés pour ce roman qui sont nombreux :
- Le terrorisme,
- La pandémie
Ne comptant pas le faire paraître avant le début 2021, je vais patienter sagement la réponse des éditeurs. Pour ceux qui m'ont dit attendre sa sortie avec impatience, ci-dessous le début de la bande annonce de mon roman. Vous la verrez en entier juste avant sa parution. Il faut cliquer sur le lien ci-dessous, puis sur la photo pour pouvoir la visionner.
Tout cela me prend beaucoup de temps ce qui explique mon silence sur vos blogs et le peu de publication sur celui-ci.
Publié le 26 Août 2020
Ecureuil Bleu sur son blog " Une bonne nouvelle par jour ", dans son article de dimanche dernier, nous parlait de ces dix activités préférées et nous incitait à parler des nôtres.
Voici les miennes :
Publié le 23 Août 2020
Cyril interne en réanimation néonatale à Paris retourne dans le village de son enfance en Bretagne pour l’enterrement de sa mère, Elsa, veuve mystérieuse semblant indifférente à tout même à la haine des habitants de son village pour des raisons obscures à son fils. Il découvre avec stupeur un carnet que sa mère a tenu, un journal intime où elle relate la vie de son fils en se mettant dans sa peau et en exprimant à sa place les sentiments qu’il ressent vraiment et qui commence ainsi « J’ai dix ans, je m’appelle Cyril. Je démarre ce cahier pour me sentir moins seul. Je m’invente un ami. C’est ma mère qui me l’a conseillé. Ce qui veut dire, bien sûr, qu’elle n’a pas envie d’entendre mes secrets ce qui veut dire aussi qu’elle sait que je suis seul »
Qui était sa mère, qu’a-t-elle commis d’impardonnable aux yeux des habitants qui, la prenant pour une sorcière, la craignent.
La rumeur gronde en silence dans ce village comme si les raisons pour lesquelles ils la haïssent ne pouvaient être exprimées à ceux qui les ignorent et notamment à son fils qui ne vit plus au village. Tous contre une. Une fois Elsa morte, cette haine qui rassemblait les habitants risque en disparaissant de briser cette concorde communautaire et faire surgir d’autres haines.
Cyril finira par connaître le secret de sa mère... et de son père qui, à la fin de sa vie haïssait aussi son épouse. Il sera aidé dans sa quête par Odile, une amie d’enfance, amoureuse de lui que soudainement il a fui. Elle était une des seules avec sa mère Brigitte à bien aimer Elsa.
Ce roman m’a beaucoup émue, je l’ai lu très vite tant j’étais pressée de découvrir le secret d’Elsa. L’écriture est simple (pas de mots inutiles) mais belle. J’ai beaucoup apprécié les descriptions des paysages colorés, lumineux de cette Bretagne littorale des côtes d’Armor. En lisant, j’ai eu l’impression d’y être, de sentir le vent marin, celui qui vous mouille d’embruns.
J’ai refermé ce livre avec regret. Même si on peut deviner dans l’épilogue ce que sera la vie de Cyril après avoir percé le secret de sa mère, j’aimerais tant qu’il y ait une suite pour savoir comment va-t-il se reconstruire après cette révélation et des années de solitude.
Citations du livre :
« Ma mère me passe des lotions, des crèmes, elle me touche la figure constamment depuis que je suis défiguré. Elle me touche la figure comme un automate qui ne peut plier les bras. De loin, à distance. Ses doigts m’effleurent à peine. Peut-être pour me faire croire que je ne la dégoûte pas. Mais je sais que je lui fais horreur, je leur fais horreur ».
« Comment peut-on arriver à se sentir si seul, quand on a une famille et qu’on est encore un enfant ? Je voudrais que quelqu’un réponde à mes questions. Mais je n’ai plus envie de les poser. Elles sont murées au fond de moi »
« Aujourd’hui, j’ai dit à mon père : Odile est comme une sœur pour moi ! « Il a encore lancé à ma mère ce fameux regard accusateur. Elle a baissé les yeux. Cette fois je n’oublierai plus que je ne dois rien leur dire »
Publié le 13 Août 2020
C’est un roman choral à deux voix, celles de :
Ce sont deux personnages attachants qui, sous une façade endurcie, dissimulent une grande sensibilité.
C’est tout l’intérêt de ce thriller psychosociologique, à l’intrigue simple qui ne réserve pas au lecteur une surprise majeure finale. L’écriture est incisive, peu élaborée, ce que je regrette personnellement, mais néanmoins sensitive et adaptée aux personnages notamment celui de Mina. Elle présente l’avantage d’insuffler du rythme à ce roman.
Publié le 10 Août 2020
Pour répondre au défi de Victoria sur le blog de Lénaïg pour les acrostiches du mercredi avec pour thème "Retour vers le passé", voici un texte en prose que j'ai écrit en mai 2012 où j'évoque mon enfance à Rueil-Malmaison. J'y évoque aussi un peu la fin de ma vie professionnelle, il y a huit ans. J'aurais dû écrire un acrostiche mais je n'en avais ni l'envie, ni l'inspiration. En fait, depuis que j'écris des romans, j'ai perdu le goût pour écrire de la poésie surtout daans une forme contrainte comme celle de l'acrostiche.
Retour vers le passé - Quai des rimes
Ce matin, je vais chez un client à Rueil-Malmaison pour le compte-rendu d'un bilan de compétences. J'aime faire des bilans et la restitution du salarié à sa Responsable Ressources Humaines est ...
http://quaidesrimes.over-blog.com/article-retour-vers-le-passe-105444374.html
Vous trouverez, ci-dessous, un autre article encore plus ancien puisqu'il date de 2009 dont je parle dans celui que vous venez de lire et où j'évoque ma rencontre avec mon Jeff.
Un amour de CB - Quai des rimes
Aujourd'hui, nous avons les blogs, les forums pour communiquer avec le monde entier mais comment faisions nous il y a quarante ans sans Internet ? Il n'y avait rien me diriez-vous, détrompez-vous !
Publié le 6 Août 2020
Martine Martin-Cosquer, Les Sables-d'Olonne. 69 likes. Après avoir écrit de nombreuses poésies et nouvelles, j'avais depuis longtemps envie d'écrire un thriller psychologique épistolaire. Je s...
https://www.facebook.com/Martine-Martin-Cosquer-102441891444579/
Un article de Ouest France sur mon livre "je dis ça mais je ne dis rien" - Quai des rimes
Un article me concernant a été publié hier dans Ouest France (Edition Vendée). Merci au journaliste de Ouest France pour son bel article. Pour ceux qui voudraient se procurer mon roman "Je dis ...
Je dis ça mais je ne dis rien eBook: Martin-Cosquer, Martine: Amazon.fr
https://www.amazon.fr/Je-dis-%C3%A7a-mais-rien-ebook/dp/B085S73LKN
Publié le 4 Août 2020
Pour le café / thé N° 123 sur une photo de la sculpture "La Source" (1980) de Gérard Ramon, ci-dessous mon poème
Bubuche la Grenouille
Grenouille je m’appelle Bubuche
Je suis forte comme un bœuf de labour
Je suis grosse comme un œuf d’autruche
Depuis bien longtemps j’ai rêvé d’être
Fine comme de la ciboulette
Où avoir les taille et dar de guêpe
Je piquerai les touristes, ces lâches
Qui me surnomment la grosse vache
Si j’avais une taille de sauterelle
Mon mâle le traitre Machiavel
Me sauterait à chaque instant
Hélas j’ai une taille d’éléphant
Machiavel me trompe allègrement
Publié le 31 Juillet 2020
Notre grand bonheur du mois fut d'avoir avec nous Pauline (13 ans déjà) l'aînée de nos petites filles . Le matin elle allait aux cours de surf et nous allions la voir évoluer avec une certaine aisance et en tous cas avec joie
L'après midi nous allions avec elle à la plage où elle faisait du body board
La veille au soir de son départ nous l'avons emmenée dîner aux Sables d'Olonne dans un restaurant italien face à la mer. La pizza au foie gras et le magret de canard étaient délicieux.
J'ai continué mes randonnées solitaires et courses aux aurores et mes promenades avec mon Jeff l'après-midi. Voici quelques photos de mes coups de coeur
Il faisait très chaud et nous allions sur notre plage préférée qui se mérite une demie-heure de marche aller retour depuis le parking et c'est pour celà qu'il y a très peu de monde. Quel bonheur de lire au soleil et de se baigner. C'est le pied !
Tous nos voisins sont en admiration devant notre jardin et nous le disent ce qui nous fait très plaisir. Un grand bravo au jardinier Jeff. Je me contente de tondre la pelouse !
Nous avons recouvert le vieux carrelage trop foncé de notre pièce de vie (32 m2) par du parquet stratifié et sommes très heureux du résultat ce qui nous a fait oublier la fatigue. Bravo à Jeff mon chef de chantier préféré qui a travaillé dur et comme un pro, je n'ai été qu'une simple arpette qui s'améliore en bricolage avec un tel professeur
Quel bonheur ce matin de voir OOPS grimper pour la première fois dans un arbre et en redescendre seul. Vous allez penser que c'est normal qu'un chat grimpe dans un arbre et qu'on est complètement gagas devant lui et bien non c'est un miracle pour OOPS qui a le ligament croisé d'une pâte arrière rompu. Depuis onze mois que nous l'avons et, après plusieurs mois de confinement dans un petit bureau à la SPA (à cause d'un autre problème ponctuel de santé qu'il n'a plus), à force de le stimuler et de le laisser jouer avec les chats des voisins, il fait chaque jour des progrès et en est très fier.